Cette année 2023 marque une véritable bataille dans la lutte contre le mildiou, tout particulièrement pour le vignoble bordelais. Une arrivée tardive et une pression inégalée qui ont secoué toute la profession.


Le rythme des pluies du printemps ainsi que le manque de main d’œuvre et l’augmentation des surfaces en friche sont des obstacles auxquels les viticulteurs se heurtent dans la lutte contre le mildiou. Quant aux stratégies curatives, les suppressions des matières actives ou bien les mesures à visées agroenvironnementales amoindrissent les solutions des vignerons. Il va sans dire que des pertes de récolte sont d’ores et déjà enregistrées avec des dégâts considérables sur grappes sans compter les jeunes plants qui ne survivront pas à cette année. Ainsi plusieurs acteurs de la filière comme la FDSEA 33 portent une demande de reconnaissance de calamité agricole pour perte de fonds d’origine climatique.

Même si on compte 90% des vignes touchées, l’efficacité des produits phytosanitaires n’est pas remise en cause selon les experts techniques et chefs de marché. La lutte contre le mildiou se pilote en préventif avec un positionnement précis et une bonne maîtrise des cadences. Certains témoignent d’ailleurs que grâce à un choix adéquat des produits et un positionnement adapté, ils ont été épargnés. C’est le cas de Stéphane Pubert, second d’exploitation sur le domaine de Fontsèche dans le Cognac qui confirme : « l’avantage d’avoir utilisé le pack Zorvec cette année […] (c’est que) nous n’avons aucune trace de mildiou ». Les packs Zorvec proposés par la société Corteva Agriscience se dénotent une nouvelle fois en faisant preuve d’une redoutable efficacité même dans un contexte difficile. Les pluies orageuses comme celle du printemps 2023 ne sont plus à craindre grâce à une excellente résistance au lessivage de Zorvec : jusqu’à 100 mm dès 20 min après application. Avec plus de 90% d’efficacité prouvée, ces packs Zorvec, à positionner idéalement au stade boutons floraux séparés, sont un partenaire incontournable.

 

 

Malheureusement pour les viticulteurs victimes du mildiou cette année, les assureurs ont tranché jeudi 27 juillet et refusent de couvrir les pertes de récoltes du vignoble bordelais alors ravagé. Selon eux, la réglementation ne permet pas de prendre en compte l’excès d’eau et exclut les maladies soit les deux arguments portés par la filière pour la reconnaissance de calamité agricole. En effet les contrats ne peuvent couvrir que les dommages directs suite à un aléa climatique. Or le vignoble ne rentre pas dans ce cadre puisque comme l’explique le porte-parole des assureurs : « sont couverts les dommages directs causés par l’excès d’eau et l’humidité excessive. L’excès d’eau correspond à un cumul de précipitation générant des dommages directs : fissures de grains, chutes de grappes, asphyxie racinaire… L’humidité excessive est définie comme une humidité relative de l’air trop importante, de nature à générer la germination sur pied des céréales à paille. » La réglementation de la nouvelle assurance climatique exclut également les dommages causés par des maladies.

 

Découvrir les Packs Zorvec sur le site Place des Agriculteurs

 

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